
On savait les Lions favoris de la NFC North et donc de cette confrontation en match du jeudi soir. La 1ère mi-temps fut un brusque retour sur terre avant une réaction d’orgueil en 2ème période qui permet à la pilule d’être plus facilement avalée. Le constat est confirmé : cette jeune équipe se construit et cette construction en cours ne se fera pas sans casser quelques parpaings.
Green Bay Packers – Detroit Lions : 20-34
BLESSÉS ET SEMI-BLESSÉS
Les Packers ont donc du pain sur la planche. Et d’abord le staff médical qui doit faire son possible pour faire revenir les blessés. Pour cela, on espère que le mini-bye de 10 jours d’ici la semaine 5 fera son oeuvre.
Car une fois de plus, les Packers n’ont pas affiché leur équipe-type. Pour le LT All-Pro David Bakhtiari, on a appris quelques heures avant le match son absence, non seulement pour le match contre Detroit, mais peut-être bien également pour la saison. L’OL manquait aussi du LG Pro-Bowler Elgton Jenkins dont le retour se fera plus sûrement en semaine 7 après la bye week. Pour cette OL Packers, Zach Tom (RT) était présent mais devant faire avec un genou douloureux alors que Jon Runyan (RG) se fera une entorse à la cheville dès la moitié du 1er quart-temps.
De même, la défense devait faire sans Jaire Alexander qui aurait été bien utile face à un St-Brown (WR) pas éclatant mais suffisamment tranchant face à un Rasul Douglas (CB) moins bon qu’à l’accoutumée.
Mais attention, les Packers voyaient le retour du RB 1 Aaron Jones et du WR 1 Christian Watson. Ce qu’on ne savait pas, c’est que Matt LaFleur avait décidé que ce retour soit précautionneux et que leurs mises en jeu allaient être limitées. Or, pour Aaron Jones, on a constaté que son absence rend GB complètement unidimensionnel. Au final, les 5 portés de ballon du n°33 sont ridicules et posent alors la question du bien-fondé de sa titularisation, 4 jours après le précédent match et avant un mini-bye.
OL MARTYRISÉE, JEU À LA PASSE ANNIHILÉ
LaFleur avait donc décidé que GB allait tenter de battre les Lions à la passe avec un ridicule 77,4 % de jeux demandés à la passe. Certes, ce % est influencé par la tentative de retour désespéré de GB en fin de match. Mais le ton était donné dès le 1er drive offensif avec un 3 and out après 3 tentatives de passes alors que pour moi, tout commandait à l’utilisation d’Aaron Jones. L’aspect médical que je ne maîtrise pas laisse le bénéfice du doute sur ce choix peu compréhensible.
Pourtant ce 1er drive intervenait après une action d’éclat de la défense : une interception de Ford (SS) dès l’entame du match pour un retour jusqu’en redzone. GB échouait donc avec ses 3 tentatives à la passe. FG. (3-0)
Les Lions se remirent en ordre de marche et faisait eux le choix de poser leur jeu de course. Il faut dire qu’ils étaient dans de meilleures dispositions avec le retour un peu inattendu de David Montgomery, couplé avec le rookie Gibbs, derrière une des meilleures OL de la ligue, à qui ne manquait finalement que le RG Vaitai.
Après un 1er first down entièrement à la course, DET se jouait de Rasul Douglas (CB), d’abord avec Laporta (TE) qui gagnait 35 yards, puis avec un stop and go de St-Brown dans lequel le n°29 mordait pleinement. TD facile de St-Brown totalement libre. (3-7)
À partir de là, la 1ère mi-temps sera un long chemin de croix pour GB. D’abord pour l’attaque, où l’OL sera dévastée et subira en situation de passe 5 sacks et 22 pressions. Ce qui pour ce dernier chiffre n’était plus arrivé depuis 27 matchs (semaine 12 en 2021). Un Tom (RT) diminué aura eu du mal à contrôler Hutchinson (DE). Un Newman (LG) cataclysmique faisant déjouer Walker (LT) et Myers (C), ce dernier manquant aussi définitivement de puissance en pass protection.

Côté défense, ce sera aussi très compliqué avec des Lions marquant 27 points sur leurs 7 drives de 1ère mi-temps. La défense contre la course ne prendra pas de longues courses de la part de Montgomery (RB). Mais ce dernier aura effectué un travail de sape constant qui faisait avancer les chaînes derrière une OL trop forte pour la DL de GB.
Vous rajoutez le joueur le plus expérimenté des lignes secondaires (Rasul Douglas) aux fraises, et vous avez un Goff trouvant des cibles pour marcher sur les Packers. Des schémas parfois inadaptés, notamment en situation de goal line mais aussi des joueurs qui ne s’adaptent pas aux mouvements pré-snap, tout ceci donne un cocktail explosif pour que les Lions marchent sur GB malgré un Rashan Gary (OLB) qui aura mis en difficulté Decker (LT). Cela limitera ainsi DET à un FG sur leur 4ème drive. (3-17)
Avec si peu de possibilités de lancer, Love commettra l’impair de lancer dans le trafic : balle déviée, interception. Il ne put se délester sur le jeu de course avec une OL tout autant en difficulté qu’à la passe, un A.J. Dillon faisant comme s’il évitait la brèche et un Aaron Jones faisant ce qu’il peut, enfin quand ses coéquipiers ne manquent pas leurs blocks (Deguara pour un – 2 yard du n°33). Un Aaron Jones (RB), touchant son premier ballon de course après 17 mn de jeu, une fois que le score était de 24-3 pour les Lions. Incompréhensible.
Les Lions terminaient la 1ère mi-temps avec un drive de 5 mn ne rapportant qu’un FG de 3 pts, mais qui annihilait le mince espoir de GB de marquer avant la mi-temps. (3-27 à la mi-temps)
UN PEU DE VERT ET OR POUR ADOUCIR LA DOULEUR
Plus que des bonnes intentions, c’est sûrement une moindre énergie de la défense Lions jouant plus préventive qui permit aux Packers de se remettre un peu dans le droit chemin.
Avec un peu + de temps pour lancer, Love (QB) se connectait notamment avec Doubs sur une 4ème et 9 plein centre. Avant de trouver à 1 yard de l’en-but un Watson (WR) au niveau du potelet orange gauche, complètement oublié par la défense Lions. GB convertira à 2 pts dans un beau mouvement général de glissement de l’attaque vers la droite mais avec un Reed (WR) stoppant sa course pour se retrouver seul. (11-27)
La DL Packers (sack de Brooks, pression de Gary) se manifestait un peu plus pour stopper DET, peut-être face aussi à une OL Lions un poil moins motivée.
Et alors que le 3ème quart-temps se terminait et aurait dû être sifflée par les arbitres, Love lançait en profondeur pour une réception spectaculaire de 44 yards de Reed (WR).

Dans un schéma appelé à se reproduire, Love feintait la passe et courait de suite tout droit avec un Runyan (RG) en protection. Touchdown. On remettait Love au turbin pour la conversion à 2 pts avec un « fake pitch » pour Aaron Jones, mais Love était repris à 1 yard de l’en-but. (17-27)
À l’entame du 4ème quart-temps et dans une gestion de son avantage, DET ne faisait quasiment plus que courir. Malgré ce schéma couru d’avance ^^, GB n’arrivait pas à endiguer les vagues. Néanmoins, après 7 mn de drive, GB stoppait DET en redzone. Malheureusement, sur le FG, Walker, impeccable dans son rôle d’ILB tout au long du match, commit l’erreur de sauter la ligne de protection Lions en prenant de l’élan (il est possible de le faire sans toucher un lineman mais en sautant depuis l’alignement).
Bref, sur cette erreur de jeunesse, DET n’allait pas repartir avec 3 pts mais bien avec 7 pts, et encore il fallut une 4ème et 1 convertie avec force par Montgomery (RB) pour le TD. (17-34)
Ce coup du sort enterrait définitivement les maigres espoirs d’un retour des Packers dans le match. D’ailleurs, malgré une remontée rapide du terrain permise par une réception spectaculaire de Touré (WR) pour 35 yards, Love et Doubs ne se comprenaient pas (Doubs changeant de tracé au moment du lancer de Love) et Jacobs (CB) interceptait facilement Love à 4 mn du terme.
Les dernières minutes permirent à Wyatt (DE) d’effectuer un sack, au Lion Hutchinson (DE) d’en faire autant et à Carlson (K) de montrer une fois de plus ses qualités : FG de 50 yards passés aisément. (20-34)
SURSAUT OU CRISE ?
La fessée est sévère et calme les ardeurs, après la ferveur du retour improbable contre les Saints. Seulement, on le sait, les Lions ne sont plus des perdreaux de l’année, en témoigne leur victoire chez les Kansas City Chiefs en première semaine.
Les raisons de cette défaite sont simples : GB a perdu dans les grandes largeurs la bataille des tranchées. En attaque, l’OL a été martyrisée. Il me tarde de voir le retour de Jenkins (LG) car dans la configuration actuelle de l’OL et en devant faire maintenant sans Bakhtiari, Love devrait encore souffrir face à des vigoureux pass-rush.
De même, malgré le talent d’Aaron Jones, il faudra bien qu’il ait un peu de terrain devant lui pour évoluer et que ses coéquipiers fassent a peu près correctement leurs blocks. A.J. Dillon lui n’y arrive plus comme s’il avait perdu son mojo.
Le n°28 a d’ailleurs été aligné très souvent, mais pour faire l’extra block en situation de passe pour un plan de jeu clairement orienté pour les airs mais qui n’avait aucune possibilité face au pass-rush Lions. Cela a été dicté par le choix de gestion d’Aaron Jones, pour moi très contestable à partir du moment où il était activé.
Ce choix tactique a abouti à un accaparement absurde du chronomètre des Lions (38 mn de possession de balle contre 22 pour les Packers !)
Une fois que Love jouait moins sa vie à chaque snap, le QB a retrouvé ses automatismes, notamment avec Doubs (9 réceptions, 95 yards). Il demeure encore perfectible sur certains de ses lancers souvent surdosés. Pour une première sous une énorme pression, le gamin n’a pas paniqué et n’a pas été apeuré. Il aurait pu éviter certains sacks mais là encore, cela fait de son apprentissage.
En défense, l’OL Lions a manoeuvré la DL Packers à loisir avec notamment une statistique terrible : les RB Lions ont effectué 121 yards avant contact, quand ils n’en avaient enquillé que 71 yards avant contact sur les 3 premières semaines.
Le coordinateur défensif Joe Barry est évidemment sur le grill. Et il est vrai que certaines formations à 2 DL ou en situation de goal line posent question. Mais là encore, les formations 3-4 classiques n’ont jamais été aussi présentes dans l’ère LaFleur. L’absence de Devondre Campbell (ILB) est certes préjudiciable sur le plan sportif, mais aussi sur le plan tactique. Ainsi, le vétéran aurait peut-être permis des ajustement judicieux juste avant les mises en jeu.
Au vu de l’agacement patent de Matt LaFleur sur cette incapacité à juguler un jeu de course adverse (29ème NFL), le statut de Joe Barry, pourtant reconduit cette saison, n’a jamais été aussi incertain. Un changement de coach ou des changements plus subtils sont-ils à attendre prochainement ?
Il reste un match chez les Las Vegas Raiders avant la bye week, un match accessible pour basculer à 3-2 et récupérer l’ensemble des joueurs blessés (hors Bakhtiari bien sûr). Il conviendra alors de mieux évaluer cette équipe jeune dans le milieu de saison où elle doit trouver, Love en premier lieu, un certain rythme de croisière.
LES STATS

GREEN BAY PACKERS :
- Jordan Love (QB) : 23/36 à la passe, 246 yards, 1 TD, 2 INT, 69.9 rating ; 1 TD à la course
- Aaron Jones (RB) : 5 courses, 18 yards, 3.6 yards par porté
- Romeo Doubs (WR) : 9 réceptions, 95 yards
- Quay Walker (ILB) : 10 plaquages, 9 plaquages assistés, 1 plaquage pour perte
- Devonte Wyatt (DE) : 3 plaquages, 1 plaquage assisté, 1 sack, 2 plaquages pour perte, 1 QB hit
- Efficacité en 3ème tentative : 27 % (3/11)
- Efficacité en 4ème tentative : 100 % (1/1)
- Efficacité en redzone : 50 % (2/4)
- 4 pénalités pour 31 yards concédés
- 22 mn de possession de balle
Detroit Lions :
- Jared Goff (QB) : 19/28 à la passe, 210 yards, 1 TD, 1 INT, 86.9 rating
- David Montgomery (RB) : 32 courses, 121 yards, 3.6 yards par porté, 3 TD
- Amon-Ra St-Brown (WR) : 5 réceptions, 56 yards, 1 TD
- Aidan Hutchinson (DE) : 1 plaquage, 1 plaquage assisté, 1 plaquage pour perte, 1.5 sack, 3 QB hits
- 211 yards à la course
- Efficacité en 3ème tentative : 41 % (7/17)
- Efficacité en 4ème tentative : 100 % (2/2)
- Efficacité en redzone : 50 % (3/6)
- 8 pénalités pour 70 yards concédés
- 38 mn de possession de balle
LES MOMENTS DU MATCH
- Le premier drive des Packers sera à l’image de la première mi-temps : des play actions pour subir au final la pression du pass rush adverse
- La pénalité de Quay Walker sur le FG induit ensuite le TD du 34-17 donnant 3 possessions d’avance à DET à 8 mn de la fin du match au lieu d’un 30/17 (2 possessions d’écart).
LES DÉTAILS QUI TUENT
- David Montgomery (RB) est le premier coureur Lions à avoir couru 100 yards et marqué 3 TD depuis 2000.
- 4ème victoire de suite des Lions sur les packers, ce qui n’était pas arrivé depuis… 40 ans !
GreenBayPackersFrance
Avant de parler du match proprement dit, j’ai vu passer une news disant que LaFleur avait eu un mot du Bak annonçant une prise de parole publique très prochainement. J’ai un peu peur que ça sente la retraite pour le Bak mais après si son genou ne suit plus et au bout de la 4e opération c’est peut-être mieux comme ça et pour sa santé.
Sinon, sur le match, j’ai grosso modo les mêmes incompréhensions/mécontentements que toi GBPF :
– Je ne comprends pas comment on peut titulariser Jones pour lui filer 5 pauvres ballons. Soit il est blessé et il ne joue pas (et il vaut mieux un taylor ou un wilson à 100%), soit il est apte et tu le gaves de ballon mais 5 ballons ce n’est pas possible !!! C’est le meilleur joueur offensif de l’équipe, il permet une double-menace, il permet à Love de s’acheter du temps parce qu’en face ils ne savent pas si c’est course ou passe mais non, rien, que dalle ou si peu… Il y a une erreur professionnelle dans tout ça, soit c’est de le titulariser alors qu’il est blessé soit c’est de ne pas le solliciter assez.
– Un plan de jeu uniquement orienté à la passe. Tu indiques le 1er drive post-INT en full passe mais de mémoire le second qui finit en 3-and-out est aussi 100% passe. Je crois qu’on voit la première course au 3e drive offensif. Et, LaFleur n’a pas l’excuse de rattraper le retard avant le 3e QT. Il y a 24-3 à 5 mins dans le 2e QT, tu as largement le temps de poser de la course, ça permet de laisser ta défense souffler en espérant que l’attaque passe plus de temps sur le terrain, ça aide Love qui était en galère sous le pass-rush.
La stat qui tue : avant le dernier drive de la 1ère MT qui a un peu avancé, les Packers c’était 0,78 yard par snap. Ridicule.
Tu disais après le match contre les Saints que les anti-LaFleur mangeaient leur chapeau bah on l’a pas mangé longtemps tellement il a été pathétique sur la 1ère MT 🙂
Le pauvre Love était constamment sous pression (2nde stat qui tue : en fin de 1ère MT, tous les OL avaient au moins la responsabilité d’une pression sur le QB) et on ne peut rien lui dire sur ce match tellement il n’a pas été aidé que ce soit par son OL et surtout par son coach. A un moment, je me suis dis que LaFleur envoyait le pauvre gamin au casse-pipe à courir comme ça pour sa vie. Et mine de rien, avec toutes les blessures de QB année après année, le truc du « et s’il se pète le genou au prochain sack » commence à venir dans ta tête.
Niveau OL, je n’avais pas compris que Newman soit dans les 53 et je ne comprends toujours pas, il n’a absolument pas le niveau. Et Sean Rhyan il est où ? Parce qu’il ne peut pas être pire que Newman ou que le pauvre Runyan qu’on renvoie sur le terrain avec un strap énorme alors qu’il s’est fait une entorse à la cheville et que sa mobilité est réduite. Ou je sais pas, tu mets Nijman en T et tu décales Tom en G à la place d’un des deux. Mais faut tenter qqch quand les mecs se font ouvrir comme ça.
Myers, j’en ai déjà assez dit sur lui. Le mec est un flop. Il a besoin que ce soit fort autour de lui pour être potable. Il est incapable d’être costaud.
Après OK, le 3e QT est mieux mais est-ce les Packers qui étaient mieux ou les Lions qui ont un peu lâché la pression ? Parce qu’à 27-17 quand il a fallu remettre le couvert pour sécuriser la victoire, j’ai l’impression qu’ils l’ont fait plutôt tranquillement.
Niveau défense, comme d’hab on s’est ouvrir à la course (29 portés pour Montgomery de mémoire) et c’est tellement récurrent que c’est un running-gag depuis plusieurs années. Je ne sais pas combien de DC on va poncer avant qu’un n’arrive à résoudre le problème. Pourtant il me semble qu’il y a les joueurs pour arriver à faire mieux que ça.
C’est assez général comme réflexion d’ailleurs : Ok l’équipe est jeune mais il y a du talent et des joueurs d’expérience/qualité et j’ai tout de même l’impression que tous ces mecs méritent mieux que ces « stratèges ».
Go Pack Go !
Salut Guile,
Tu écouteras le prochain podcast où on se pose à peu près les mêmes questions au niveau coaching offensif et défensif.
Pour l’OL, je suis du même avis en tout point. J’ai hâte du retour d’E. Jenkins, il me donne l’espoir qu’il puisse stabiliser cette ligne en faisant gicler Newman et en tirant vers le haut son LT et son C.
D’accord avec tout ce que vous avez dit, mais dites moi si j’ai loupé un épisode, mais depuis le temps que suis la NFL, il me semble que pour stopper où au moins ralentir les running back ça commence par les DE et les DT, ça tombe bien il paraît qu’à Green Bay on a l’un des meilleurs avec Kenny Clark, où est t’il depuis toute ses années contre le jeux au sol adverse, nulle part !
Année après année on se fait rouler dessus !
J’ai lu un article américain d’un suiveurs des Packers, et il notait que chaque année depuis 5 ans ses states était en baisse, à l’inverse de son salaire.
2 ridicules petit pro bowl pour son œuvre quand des gars comme Merlin Olson avait au compteur 14 saison pour 14 pro bowl où Reggie White 13 pro bowl et 13 fois all pro.
Je ne rouspète pas souvent devant mon écran, mais a un moment donné j’ai gueulé contre Richard Nixon pour qu’il arrête ses relances pourri jusqu’au 15 où 20 yards, sans compter le risque des pénalités qui vont avec, et qui nous enfonçait encore plus loin dans notre camp, on repartait de très loin à chaque fois, puis a un moment donné son coach à dû lui dire terminus pour aujourd’hui, et depuis le début de saison c’était pareil.
Question ? Quelqu’un sait où se trouve Eric Stock ?
Pour Stokes, il a repris justement l’entraînement hier. Pour peut-être une reprise lundi soir face aux Raiders ?