GREEN BAY PACKERS – NEW YORK GIANTS : 38-13
Chers Packers fans, ne vous fiez pas au score flatteur, l’opposition donnée par les Giants fut rude. L’attaque des Packers était en difficulté toute la première mi-temps jusqu’à ce qu’Aaron Rodgers nous récite son désormais célèbre « Ave Maria ». Un tournant qui a permis d’aborder sereinement une deuxième mi-temps où Green Bay s’est détaché inexorablement.
UNE ATTAQUE FAMÉLIQUE EN PREMIER QUART-TEMPS
Alors que l’attaque de GB est inarrêtable en ce moment, elle a calé en début de match face à une défense new-yorkaise qui ne voulait pas s’en laisser compter.
Le pass-rush Giants mettait la pression sur ligne offensive tout en évitant à Rodgers de s’échapper sur les côtés comme il sait si bien le faire (4 sacks en 1ère mi-temps ; 1 seul en 2ème mi-temps). Comme prévu, leur ligne défensive annihilait complètement le jeu de course de GB (porté par Montgomery). Linebackers et secondary Giants collaient eux aux basques des receveurs, notamment le strong safety Landon Collins qui marquait Jared Cook, cible privilégiée de Rodgers en début de match.
Bref, le poids de cette première mi-temps reposait sur les épaules de la défense de GB, plutôt inégale dans ses performances…
LA DÉFENSE MAINTIENT LES PACKERS DANS LE MATCH
La défense Packers rendait d’abord inefficace le jeu à la course de New York, qui allait pourtant crescendo en cette fin de saison. L’attaque des Giants était rendue uni-dimensionnelle. Mais Eli Manning, le quarterback des Giants, joua quand même une belle partition en première mi-temps. Il se connectait avec l’ensemble de ses receveurs : Beckham Jr, Shepard et Cruz pour des gains entre 10 et 30 yards à chaque passe complétée.
Les Packers pliaient mais ne rompaient pas grâce à leur « mur » contre la course, à quelques marquages bien serrés qui empêchaient des réceptions (Hyde – CB – sur Shepard en endzone) et… à quelques « drops » cruciaux des receveurs Giants. Pour ce dernier point, l’exemple le plus criant fut le touchdown manqué par un Beckham Jr qui avait semé Gunter (CB) et qui ne referma pas assez bien ses bras pour que le ballon tombe dans le « panier ». Les Packers pouvaient s’estimer heureux que le 2ème drive des Giants n’aboutissent qu’à un field goal. (0-3) vidéo réception manquée de Beckham Jr
Ainsi, l’attaque de GB n’engrangea que.. 7 yards au premier quart-temps, évidemment le pire total de l’année sur un quart-temps. Et en plus, les Packers perdaient Jordy Nelson (WR) sur un plaquage tête en avant illégal de Hall. On peut craindre des côtes cassées pour Nelson, et son absence au prochain match est quasi-certaine. 🙁
Les deux équipes jouant majoritairement à la passe, les drives et les punts s’enchainaient mais le chrono ne s’écoulait pas. À tour de punt, chaque équipe tentait de gagner la bataille territoriale. GB trouvera l’ouverture sur son 6ème drive (!), après un sack judicieux de Peppers sur les 8 yards adverses et un mauvais punt de B. Wing, le punter new-yorkais.
Reparti des 45 yards des Giants, Rodgers trouva de suite le long de la ligne de touche droite Davante Adams pour une réception qui ressembla en tout point à son TD au coup d’envoi du match contre les Seahawks. Il échouait cette fois à 7 yards de l’en-but. Mais deux jeux plus tard, il marquait le TD sur une danse de 9 secondes (!) de Rodgers derrière sa ligne offensive. À 2 mn 30 de la mi-temps, Adams reproduisait cette fois le même type touchdown que Geronimo Allison avait réalisé la semaine passée. (7-3) vidéo TD Adams
La machine Packers était-elle enclenchée ? C’est ce que sentait Mc Carthy qui utilisa un temps mort juste avant le « 2-minute warning ». Et sur la 3ème et 1, la défense stoppait net le RB 3 (!) Bobby Rainey choisi pour convertir le 1st down.
Avec 1mn 38 à jouer et 80 yards à parcourir, Rodgers allait-il commencer un drive de feu sans plus aucun temps mort ? Il profitait certes de la défense préventive des Giants mais ses receveurs n’arrivaient pas à s’extirper du terrain et Montgomery à la course gagnait peu de yards. À 12 secondes de la fin, Cook relâchait une passe de 20 yards sur une 3ème et 2 yards. Bien lui en a pris… car cela stoppait le chrono alors que dans le cas contraire, GB n’aurait pas eu le temps de faire un nouveau jeu !
Vint donc la dernière tentative de la mi-temps et Aaron Rodgers tenta naturellement la passe « Ave Maria », jeu de la dernière chance avec l’envoi d’une passe dans la zone d’en-but en espérant que le ballon retombe dans les bras d’un de vos coéquipiers. Mais Aaron Rodgers a l’art et la manière de maximiser ses chances de réussite sur ce jeu. D’abord, en gagnant du temps avant le lancer pour que ses receveurs puissent aller jusque dans l’en-but, puis en effectuant une passe hyperbole de 60 yards qui titille les cieux avant de retomber comme une bombe. Cette trajectoire parabolique inhabituelle, plus difficile à appréhender pour les défenseurs, est maîtrisée à merveille par le n°12.
Dans le cas présent, les défenseurs new-yorkais se gênaient, focalisés par la mêlée qui se formait, peut-être aussi aveuglés par les éclairages des pylônes.. Toujours est-il que Randall Cobb fixait le ballon et n’eut pas besoin de sauter pour récupérer l’offrande derrière la mêlée et inscrire un TD au buzzer ! vidéo Hail Mary
Incroyable dénouement d’une mi-temps où les Packers, avant ce drive de 80 yards de la « Hail Mary » (Ave Maria), avaient 67 yards en attaque au compteur contre 205 yards pour les NY Giants ! Et pourtant, c’est bien GB qui menait 14-6 à la mi-temps. Dominer n’est pas gagner.. et il est préférable de ne pas laisser passer sa chance…
L’ÉTREINTE LENTE DES PACKERS
Avec un tel coup derrière la tête, Les Giants allaient devoir faire preuve de grandes ressources morales pour s’en remettre. Et même s’ils ne baissaient pas pavillon en début de seconde période, ils n’y allaient pas y arriver.
Et pourtant, le coach Mc Carthy leur fit une offrande pour les relancer. Il osa tenter une 4ème et 1 yard sur les propres 42 yards de GB, en jouant sur la force de la défense Giants, la course. Incompréhensible décision dans ce match à peu de points à cet endroit du terrain. De mon avis, Mc Carthy sait très bien préparer ses matchs (game planning) et analyser les forces et faiblesses de son adversaire. Mais lorsqu’il doit dévier de son plan de jeu et improviser, son coaching est beaucoup moins couronné de succès.
Il ne fallut pas plus de deux actions pour que les Giants fassent payer l’audace de Mc Carthy. Alors que la défense prévoyait une course ou une passe courte, Eli Manning utilisait une mésentente entre Randall (CB), qui jouait l’extérieur, et Clinton-Dix (FS), qui jouait en « middle field » au lieu de couvrir l’intérieur de receveur de Randall. Le joueur de seconde zone Tavarres King marquait le 1er TD de sa carrière (41 yards SVP). (14-13) vidéo TD King
Le « momentum » allait-il changer de camp ? Non, car Rodgers allait ouvrir la défense Giants comme Moïse la mer Rouge. Après un bon retour de C. Michael de 31 yards, il trouvait, 3 passes suivantes, le TD grâce à un Randall Cobb qui avait pris ses distances avec son défenseur (Wade) et terminait les derniers 15 yards de sa course en roue libre. (21-13)
La défense toujours héroïque contenait toujours les receveurs de NY et restait le mur infranchissable à la course. Les Giants n’avançaient plus, Eli Manning était imprécis (Beckham Jr seul mais manqué) et une erreur du retourneur de kickoff les mit même en position périlleuse dans leurs 4 yards. Les Packers capitalisaient un field goal sur leur 4ème drive (24-13) avant de porter le coup fatal en début de 4ème quart-temps.
Convertissant d’abord une 3ème et 11 par Montgomery en plein centre du terrain, puis une 3ème et 9 par Adams, c’est encore sur une 3ème tentative que Rodgers, avec une nouvelle danse hypnotique derrière sa ligne offensive, trouvait Cobb au fond de l’en-but. 3ème TD pour Cobb : quel retour après 2 matchs manqués ! (31-13)
31 à 13 à 9 mn de la fin, le sort en était jeté. Et pour faire boire le calice jusqu’à la lie aux Giants, Clay Matthews provoquait le fumble de Manning.. et le recouvrait 10 mètres plus loin, alors que tout le monde ou presque pensait le jeu terminé. Mais aucun n’arbitre n’avait sifflé !
Les Packers ne faisaient pas prier pour enfoncer le clou, et se permettaient même de terminer le drive par de la course avec son trident Montgomery-Ripkowski-Michael. Je sais bien que Michael ne doit pas maîtriser tout le playbook des Packers mais il est tellement explosif que chaque course est efficace et peut se terminer par un gros gain. Il peut être le joker inattendu de ces play-offs. Ripkowski finissait le boulot avec un TD d’un yard à 2mn 43 de la fin du match. (38-13)
Les 63 yards du dernier drive Giants étaient anecdotiques. Ils permettaient même à Randall (CB)de faire subir à Manning son interception habituelle, seul un trébuchement empêchait le cornerback de ne pas retourner cette interception pour un TD qui aurait sacrément salé la note.
RETOUR AUX SOMMETS
Pour la 3ème année de suite, les Packers s’invitent dans le dernier carré NFC et les 8 meilleures équipes de l’année. On l’a déjà dit, mais tout ceci était bien inespéré lorsque le bilan était de 4 victoires et 6 défaites en semaine 11.
Septième victoire consécutive donc, et surtout une nouvelle top défense disséquée. En ayant marqué 38 pts (drôle de point commun) aux Seahawks, aux Vikings et aux Giants, sûrement les 3 meilleures défenses NFC, on peut le dire, l’attaque des Packers ne craint aucune défense. Et surtout pas celle des Dallas Cowboys, le prochain adversaire qui est loin d’être leur point fort. La clé de ce prochain match sera dans la capacité de la run defense à ne pas se faire marcher dessus par Ezekiel Elliott (RB) et sa ligne offensive qui réunit 3 joueurs All-Pro (LT Tyron Smith – C Travis Fredericks – RG Zach Martin). Mais nous verrons tout cela dans le prochain « Échauffement » !
D’ici là, il faudra panser ses blessures, l’ensemble de l’effectif est en forme et en bonne santé au bon moment. À l’exception de Jordy Nelson (WR) dont on saura prochainement si il a des côtes contusionnées, fêlées ou cassées et donc si sa saison s’achève ou non.
LES STATS
Green Bay :
- Aaron Rodgers : 25/40, 362 yards, 4 TD
- Christine Michael : 10 courses, 47 yards ; 4,7 yards par portée
- Randall Cobb : 5 réceptions, 116 yards, 3 TD
- Davante Adams : 8 réceptions, 125 yards, 1 TD
- Jake Ryan : 9 plaquages, 3 plaquages assistés
- Efficacité en 3ème tentative : 35 % (5 sur 14)
- Efficacité en zone rouge : 75 % (3 sur 4)
- 158 yards de retours de kickoff et de punts
- Jacob Schum : 6 punts, 41,2 yards de moyenne ; le plus long : 58 yards
- 2 pénalités pour 20 yards seulement
- 34 mn 31 de possession de balle
New York :
- Eli Manning : 23/44 à la passe, 299 yards, 1 TD, 1 INT
- 70 yards à la course
- Tavarres King : 3 réceptions, 71 yards, 1 TD
- Odell Beckham Jr : 4 réceptions, 28 yards
- Landon Collins : 6 plaquages, 3 plaquages assistés, 1 sack
- Efficacité en 3ème tentative : 31 % (5 sur 16)
- Efficacité en zone rouge : 0 % (0 sur 2)
- 25 mn 29 de possession de balle
Le résumé vidéo du match : Packers vs Giants
Et bien dite moi mes amis, quel match bizarre ! 30 yrds au compteur a quelques minutes de la mi-temps !
On a pris l’habitude cette saison de louper les entames de match, heureusement que notre défense tant décrié, nous a maintenu à flop en stoppant Eli asser facilement en dehors de notre red zone.
Puis le magicien » pas Don Majik Man Majkowski » le nouveau magicien des Packers nous a sortie toute sorte de choses merveilleuses de son chapeau.
Sa panoplie est très varié on le sait, mais là, ses deux premiers TD sont splendides, et resteront dans les high-light de son immense carrière, et on en a pas tous vu avec ce phénomène !
Confiant avant le match, mon sourire est vite partie pendant 27 minutes, puis Aaron est entrée en scène, quel plaisir et quel chance ce QB tous même, avec lui les Packers peuvent voyager entre le Texas, la Géorgie et re Texas !
Après 30 saisons de NFL, je peux dire que cette fin de saison, je la sens bien avec un Rodgers qui va nous gagner un titre de MVP, puis nous amener un cinquième Super Bowl dans la baie puante.
L’attaque est au top pas de problème, la défense a relever la tête, Mike doit arrêter ses petites absence, les équipes spécial font du bon boulot et Schum lui aussi a élevé son niveau, ainsi que Michael.
Au moins ici on peut écrire sans se faire tailler par d’autres énergumènes surexcité, ici on discute Packers et rien d’autres.
Je vois les Packers en finale NFC contre les Seahawks pour une revanche tant attendu !
Quand à moi, je rêve depuis des décennies d’un rimake du Super Bowl 1 ( qui n’avait pas de numéro) entre les Packers et les Chiefs de Kansas City…
Amen ! ^^ (‘est de circonstance avec l’Ave Maria).
J’ai comme toi bien tremblé pendant ces 27 mn, et merci à la défense de ne pas avoir sombré durant ce laps de temps.
Tant que la défense assure l’essentiel, c’est-à-dire ne pas encaisser de pts sur chaque drive, tant que les équipes spéciales ne font pas de turnovers, tout ira bien avec Rodgers aux commandes.
Le remake du SB 1 me dit grave aussi, car KC est une équipe que j’affectionne et ce serait magnifique aux niveaux confrontations des couleurs.
Pour les énergumènes surexcités, ils ne digèrent pas qu’on puisse critiquer ce qu’un sportif de haut niveau ne devrait pas faire à une semaine de son objectif de l’année (on parle de la virée miamiesque des WR Giants). En tant que fans de GB, je crois que la franchise déteint sur nous et on est toujours respectueux de l’adversaire même dans la défaite.
Mais pour l’instant, c’est la victoire qui nous porte, et maintenant elle doit passer par Dallas, et ça ne me déplairait pas en effet qu’elle passe par le Century Link ! 😉
N’est-ce pas, ça le ferait un Packers-Chiefs, comme en janvier 1967.
Mais a la place des deux légendes Bart Starr, Len Dawson, nos deux fameux first round 2005.
Tu sait que abc n’a pas fait de copies du Super Bowl , et que le Coliseum était à moitié vide ou presque !
Il y avait 11 hall of famers sur la pelouse, 8 côté Packers.
Pour l’histoire du premier Superbowl, je l’ai évoqué en extension de l’article « NFL et matchs de légende ». C’est le Packers Story n°1, que tu trouveras soit dans la rubrique HISTOIRE, soit dans le mois JUILLET.
Deux 1st rounds en 2005 ? J’en vois bien un dont le pick est le double de son numéro 😀 , mais l’autre je vois pas..
🙂 le double, c’est vrai ! L’autre à rajouter un 1 a son tour de draft, il n’a pas osé prendre le number one
Aaron a beaucoup boudé cette journée la, et trouver le temps long, long très très long, pour arrivé dans notre besace.Quel beau cadeau, une vrai pépite, offert par les chercheurs d’or !
J’aime bien Smith, mais chez les Packers ça aurait donné quoi ?
Le dernier match de la saison 2007, Favre est titulaire et laisse sa place à Aaron dans le 2eme QT, les Trois QT qu’il a jouer ce soir là, mon suffit pour me dire, ok, Brett, ton Back up, il est bon, on doit pouvoir fair un bout de chemin avec lui, mais de là à penser que l’élève dépasserai le maître, c’était pour moi, fan absolu de Favre, inconcevable !
9 saisons plus tard passé toute en haut, force est de constater que le génie qui nous régale chaque saison, est devenu l’un des plus grand de tous les temps, pour moi à la fin de sa carrière il sera devant Montana et Brady.
Aller encore 4 jours, avant de prouver à l’Amerca Team que les emballeurs is Back !
Que dire… Que j’ai pris le temps de savourer avant d’écrire 😀 ?
@Davidbrillac: « notre défense tant décrié, nous a maintenu à flop ». Joli le « à flop » vu la D de 2016 haha!
Comme vous, frustré par cette 1MT où on est repartis dans nos travers à chercher d’entrée le jeu long au lieu de jouer simple pour chauffer tranquillement à domicile. Rodgers et McCarthy ont reconnu eux-mêmes qu’ils n’avaient pas pris les meilleures décisions au début mais quelle réaction après ça !
Encore une saison folle alors qu’on a même pas joué le divisional round…
Avec ce Rodgers là tout est possible, il peut assommer l’adversaire avec un seul lancer ! Quand je repense qu’on a laissé sur le banc ce joueur 3 fois en OT de PO à cause d’un simple toss… J’en viens à me dire que Brady peut bien garder ses 4 SBs vu ce que nous offre notre 12 sur le terrain la majeure partie du temps, blessé ou pas (et sans Nelson, cette fois).
En D on a vu que l’absence d’un Rollins diminué était finalement plus bénéfique malgré quelques sacrés vents encore pris par la secondary. Sans les drops à gogo des Giants, ça aurait pu tourner d’une sale manière mais j’ai apprécié ce « retour de karma » pour les PO du 15-1 où ce sont les receveurs des Packers qui avaient inexplicablement lâché Rodgers.
On a toutes nos chances contre DAL (sauf pour les hail mary à cause de l’écran géant du Jerry’s World), surtout si la D en fait assez pour contenir Zeke et mettre le doute à Dak. C’est vrai que la pression est sur eux alors que GB joue en roue libre mais je ne sais pas si notre pass rush est de taille contre l’OL des Boys… Malgré ça, avec des vétérans comme Peps et Clay plus Daniels au top, on devrait avoir de quoi les gêner ^^ .
Au moins, les matches de cette semaine devraient être d’un autre niveau (excepté HOU NE -_-‘). Pour SEA – ATL, je pense que les Falcons passeront parce que SEA a vraiment du mal à l’extérieur et que je ne les vois pas mettre autant de points que Ryan & co.
P.S.1: oui j’avais dit MIA – HOU (au lieu de OAK – HOU) en entrée la semaine dernière, lapsus révélateur vu ce que MIA s’est pris contre PIT…
P.S.2: je crois qu’il est temps de renommer le Hail Mary en Aaron Mary ^^ .
Hiinnn, j’étais sur un 1er tour des Packers. Mais oui, une affiche du SB LI avec les deux QB qui se disputaient le 1st pick de la draft 2005 (Alex Smith et Aaron Rodgers), les médias US en feraient des caisses assurément.
Cette draft 2005 avec Rodgers qui tombe dans notre panier restera un acte fondateur de deux décennies de succès des Packers. Je voulais en faire un sujet lors de la dernière draft mais pas eu le temps. Je vais m’atteler à la tâche pour la prochaine.. !