Week 16 ~ GB – MIN : « Petit papa Rodgers… »

 GREEN BAY PACKERS – MINNESOTA VIKINGS :  38-25

temp161224-packers-vikings-6-siegle-020-nfl_mezz_1280_1024

Que montre Petit papa Rodgers ? Les play-offs ? Un titre de MVP ? Le Superbowl ?

« …quand tu descendras du ciel, avec tes touchdowns par milliers, n’oublies pas d’être MVP. » Voilà la belle comptine offerte par les Packers en ce réveillon de Noël. La victoire était impérative face aux Vikings, elle a été aisée grâce à un Aaron Rodgers débarrassé de tous ses tracas physiques, redevenant injouable pour ses adversaires. Attention la concurrence, les Packers sont « hot » !

PRIORITÉ À LA PASSE

Le ton était donné aux premiers drives de chaque équipe : cet après-midi de veille de Noël allait être un festival de passes, Green Bay parce qu’elle a le meilleur passeur de la NFL, Minnesota parce que son jeu à la course est le dernier de la ligue (Adrian Peterson (RB) était finalement absent après sa rentrée prématurée de la semaine précédente). Ainsi, 80 % des jeux de Green Bay et 75 % des jeux de Minnesota auront été des jeux de passe. Et à ce petit jeu, mieux avoir dans son équipe le meilleur passeur actuel en NFL..

Pourtant, chacune des deux équipes dut « punter » lors de son premier drive. Après avoir bien commencé en impliquant à la passe ses deux coureurs Montgomery et Michael, GB exécuta mal une petite passe écran pour Cook ; la défense de GB, elle, défendait bien sur les 3 premières situations de passe. On nota que Datone Jones et Julius Peppers étaient les titulaires en rushers (OLB), Clay Matthews et Nick Perry allaient eux s’impliquer de plus en plus au fur et à mesure du match.

temp161224-packers-vikings-3-siegle-22-nfl_mezz_1280_1024

Rodgers-Nelson : unis pour le meilleur !

Mais dès le 2ème drive, Aaron Rodgers trouvait sa vitesse de croisière. Deux passes pour Adams et une « play action » (feinte de course) au profit de Geronimo Allison (aligné en WR 3 en l’absence de Cobb) plus tard, Rodgers trouvait au centre du terrain Jordy Nelson qui résistait au retour du LB Viking Kendricks. (7-0)

C’était le début du show Rodgers-Nelson de cette 1ère mi-temps. Dès l’entame du drive suivant de GB, Rodgers remarquait un Nelson isolé car débarrassé de son cornerback qui avait glissé. Ni une, ni deux : passe de 48 yards. Et deux jeux suivants, le QB de GB trouvait Adams sur la droite du terrain sur une « backshoulder pass » indéfendable que n’aurait pas renié Jordy Nelson. (14-3)

Entretemps, Sam Bradford (QB) avait trouvé aussi son rythme de petites passes, trouvant principalement A. Thielen (WR). Mais Clay Matthews (OLB), par une déviation de passe, avait forcé les Vikings au field goal.

Les Vikings reprenaient la même recette sur leur 3ème drive, avec cette fois une belle passe lobée réceptionnée encore par A. Thielen (WR), pourtant bien couvert par Gunter (CB). Mais les Vikings étaient encore réduits au field goal. (14-6)

Voulant renouer un peu avec la course, les Packers s’obligeaient un « 3 and out ». Montgomery n’aura jamais trouvé la brèche qui lui aurait permis un gros gain comme la semaine précédente. Mais là où il aura donné satisfaction, c’est qu’à chacune de ces courses, on pouvait s’attendre au moins à ce gain de 2-3 yards, en avançant toujours après le premier contact, à la différence d’un Starks (RB).

Pas grave, les Packers récupéraient le ballon sur un improbable « fumble » (perte du ballon) du centre Viking N. Easton (C) lors d’une mise en jeu ! Une faute de jeu qui arrive une fois par saison ! Ni une, ni deux, le rookie Kenny Clark, aligné en nose tackle sur l’action, récupérait le cuir sur la ligne des 42 yards adverses. vidéo fumble recouvert par Clark

L’AMIRAL NELSON COULE LA DÉFENSE DES VIKINGS

temp161224-packers-vikings-2-siegle-53-nfl_mezz_1280_1024

Jordy Nelson (WR) aura fait la misère à la défense des Vikings au centre du terrain

Rodgers s’empressait de faire payer la note avec d’abord une passe plein centre de 33 yards pour Jordy Nelson. Globalement, Nelson aura su se jouer des cornerbacks adverses qui n’ont pas respecté les consignes de leur entraineur en chef qui voulait mettre leur meilleur CB (X. Rhodes) sur Nelson. Les CB préféraient garder leur zone de terrain préférée à défendre et croyaient bien faire. Mal leur en a pris… Deux jeux suivants, Rodgers bénéficiait de temps derrière une bonne protection de sa ligne offensive et attendait que Nelson se libère après avoir fait tourner en bourrique le linebacker Anthony Barr. (21-6)

 

temp161224-packers-vikings-3-siegle-26-nfl_mezz_1280_1024

Rollins (n°24), une fois de plus en retard sur Thielen (WR). Clinton-Dix (n°21) ne peut rattraper le coup. Touchdown de 71 yards pour les Vikings.

Les Vikings avaient la tête sous l’eau ? Pas encore. Bradford trouva encore A. Thielen (WR) pour une passe TD de 71 yards, le plus long jeu des Vikings cette saison. Sur le jeu, Thielen feinta admirablement Rollins (CB) alors que Clinton-Dix (FS), surpris, n’était pas assez reculé dans la défense et ne put rattraper Thielen. Rollins a vraiment effectué un match horrible et a permis à A. Thielen de faire le plus beau match de sa carrière. Dommage pour les lignes secondaires Packers, cette fois-ci, Randall (CB) était au niveau et éteignait le WR 1 Diggs mais Rollins loupait son match. Accordez vos violons, chers cornerbacks ! (21-13)

temp161224-packers-vikings-3-siegle-37-nfl_mezz_1280_1024

Clay Matthews fait perdre le ballon à Sam Bradford (n°8), Mike Daniels (hors cadre) récupèrera le cuir

Il y avait encore de la vie dans le drakkar ! Car les Packers durent encore punter. La cause ? 2 sacks de suite, plus dus à des mauvais placements et assignations qu’à une faiblesse physique. Balle en main à l’entrée des 2 dernières mn de la 1ère mi-temps, les Vikings allaient-ils appuyer sur les fins de mi-temps difficiles des Packers cette saison ? Non, grâce au sack de Clay Matthews après avoir débordé le LT Clemmings, qui causait la perte de balle (fumble) du QB Bradford, balle récupérée par Mike Daniels (DT). La suite nous montrera que c’était le tournant du match.

temp161224-packers-vikings-3-siegle-49-nfl_mezz_1280_1024

Rodgers vient « d’enrhumer » Rhodes (CB) sur des feintes de corps pour marquer le 4ème TD de Green Bay

Une minute à jouer, c’était déjà trop pour un Rodgers de feu qui récupérait la balle au milieu du terrain. D’abord, une passe de 32 yards sur le côté droit du terrain pour G. Allison (WR) complètement oublié par une défense focalisée sur Nelson et Adams (avec le safety Sendejo complètement perdu). Puis vint le chef d’oeuvre : Rodgers en situation de passe évitait le déboulé sur sa gauche de Griffen (DT) par un petit tour sur lui-même, puis il fonçait vers l’en-but sur 20 yards, en mystifiant par des feintes de corps le CB Rhodes. vidéo TD à la course de Rodgers Au vu de l’action, Rodgers pouvait bien s’accorder un bain de foule par le célèbre « Lambeau Leap ».

Alors que les Vikings avaient la balle à 2 mn de la mi-temps pour égaliser, ils étaient finalement menés de 2 possessions d’écart. (28-13 à la mi-temps)

LES PACKERS CREUSENT L’ÉCART… ET LE GÈRENT

Après ce festival offensif, les esprits se calmèrent au 3ème quart-temps. Bien qu’ayant le ballon en premier, les Vikings n’en profitaient pas. Clay Matthews était de plus en plus en jambes. Il attirait d’abord deux hommeS de ligne offensive, permettant à Mike Daniels (DT) d’enregistrer un sack, avant de dévier une passe sur 3ème tentative.

Les défenses resserraient leur étreintes, cédaient parfois, mais ne rompaient pas. Géronimo Allison (WR) engrangeait les yards. Montgomery (RB) doit encore apprendre son jeu de bloqueur, autorisant des sacks sur Rodgers. C’est GB qui forçait le coffre le premier en marquant un field goal à l’entame du dernier quart-temps, après un 3ème quart vierge de tout point. (31-13)

Les Vikings n’avançaient toujours pas à la course et durent encore se dégager à 13 mn de la fin. Les voies d’eau se faisaient de plus en plus grosses dans le drakkar. Avant de couler définitivement car Capitaine Rodgers porta l’estocade finale. Après une passe sur la gauche de 30 yards d’une précision extrême pour Jared Cook (TE), il convertissait en entrée de zone rouge une 3ème tentative et 2 yards très importante grâce à … Nelson bien sûr ! Puis, il trouvait Richard Rodgers pour le TD qui clôturait le match à 9 mn de la fin. (38-13)

Évidemment, les Vikings tentaient le tout pour le tout et convertissaient ainsi une 4ème tentative et 4 yards, mais la défense appliquait cette fois bien la défense préventive, et si l’attaque violette progressait, c’était par petits gains chronophages. Bradford trouva néanmoins Diggs pour un magnifique TD en passe lobée, malgré un bon marquage de Hyde (qui aura été un bon retourneur de punt malgré son fumble rattrapé…). (38-19)

Oui, mais voilà, il ne restait plus que 4 mn… Après que le QB remplaçant Hundley eut pris quelques snaps et obligé les Vikings à utiliser leurs temps morts, la défense faisait face au va-tout des Vikings qui durent convertir deux 4èmes tentatives (dont une 4ème et 12 sur la tête… de Rollins une fois de plus). Bradford trouvait Thielen pour un dernier TD à 30 secondes de la fin qui adoucissait un peu l’addition et évitait un score humiliant comme l’ont subi les Seahawks. (38-25) Le « onside kick » recouvert par les Vikings restait anecdotique.

Certes, certains fans perfectionnistes vont encore pester contre cette remontée. Pour moi, elle est beaucoup plus anecdotique sur ce match que face aux Bears. La défense s’est appliquée mentalement et cette application a fait durer les drives des Vikings. Si Joe Thomas (LB) avait été moins hésitant sur certains blitz ou si Clinton-Dix (FS) avait eu un peu plus de maîtrise, les Packers auraient été tout près d’obtenir un nouveau « turnover » en fin de match après les deux fumbles de 1ère mi-temps.

En défense, il y a certes « l’affaire Rollins », complètement sorti de son match faisant un briller un jeune rookie qui ne refera peut-être plus jamais un match d’une telle ampleur. De plus, l’attaque des Vikings se situe plutôt dans la 2ème moitié NFL.

Mais la défense reprend de la vigueur au meilleur moment. Clay Matthews a vraiment montré de l’amélioration dans son jeu, prouvant que ses blessures n’allaient bientôt plus que de mauvais souvenirs. Nick Perry, même avec un avant-bras plâtré est monstrueux de présence. Il se dégage en plus une envie commune et un esprit qui va de pair avec la série de victoires. Tout ça sent bon, chers cheeseheads !

RODGERS MVP ?

Pour ceux qui osaient évoquer un déclin en début de saison, les points sur les « i » et les barres sur les « t » sont mis. Rodgers est stratosphérique depuis la semaine 7. Il est sans conteste le meilleur joueur de la 2ème moitié de la saison NFL. Normalement, cela ne suffit pas. Mais cette année 2016, il n’y a pas un joueur qui réellement s’impose comme incontestable meilleur joueur.

Alors, faut-il croire Lambeau Field qui scandait « MVP, MVP ! » tout au long de la partie ? Même s’il est exceptionnel dimanche prochain à Detroit, cela risque d’être un peu court pour ceux qui ont été réguliers depuis le début de saison. Je pense à Ezekiel Elliott, le coureur des Dallas Cowboys qui aura réalisé une saison rookie exceptionnelle et déjà auteur de 1.551 yards. Certes, il évolue derrière une ligne offensive reconnue comme être la meilleure de la NFL, ou au moins la meilleure en run blocking. Cependant, il sera difficile d’inverser la tendance, sauf si Elliott est médiocre lors des deux dernières rencontres, ce que les Packers ne souhaitent pas forcément, vu que les Cowboys rencontrent les Lions ce soir ! À moins que les journalistes et experts NFL gardent encore leurs faveurs pour l’inoxydable Tom Brady (QB), au jeu peu flamboyant mais efficace.

En tout cas, Aaron Rodgers vient de disséquer à la passe deux des meilleures défenses NFL, les Seattle Seahawks et les Minnesota Vikings. Autant dire que cette attaque n’a, dans un bon jour, rien à craindre de personne. Et même sans jeu de course. Car si les coureurs ont été flamboyants la semaine passée, ils ont été juste passables sur le peu d’occasions qui leur ont été donnés. Si l’attaque parvient à prendre rapidement le contrôle sur le match, la défense est capable de tenir la dragée haute à l’adversaire, notamment par sa capacité à créer des « turnovers ».

LES STATS

sans-titre

Green Bay :

  • Aaron Rodgers : 28/38, 347 yards, 4 TD
  • 40 yards à la course, dont 13 yards et 1 TD pour Aaron Rodgers
  • Jordy Nelson : 9 réceptions, 154 yards, 2 TD
  • Geronimo Allison : 4 réceptions, 66 yards
  • Joe Thomas : 9 plaquages, 1 plaquage assisté
  • Nick Perry : 2 plaquages, 2 sacks
  • Efficacité en 3ème tentative : 46 % (6 sur 13)
  • Efficacité en zone rouge : 75 % (3 sur 4)
  • 8 retours de kickoffs et punts pour 125 yards
  • 6 punts pour 43,2 yards de moyenne

Minnesota :

  • Sam Bradford : 34/50, 382 yards, 3 TD
  • John Mc Kinnon : 11 courses, 50 yards
  • Adam Thielen : 12 réceptions, 202 yards, 2 TD
  • Eric Kendricks : 4 plaquages assistés, 2,5 sacks
  • Efficacité en 3ème tentative : 33 % (5 sur 15)
  • Efficacité en 4ème tentative : 100 % (3 sur 3)
  • Efficacité en zone rouge : 50 % (2 sur 4)

Le résumé vidéo du match : Packers vs Vikings

Au prochain point classement, nous verrons ce que peuvent jouer les Packers lors de la dernière journée chez les Lions, après justement le match du lundi des Lions chez les Cowboys .

9 Comments

  1. Roundeux

    Je sais pas combien de temps tu mets à rédiger des articles aussi complets mais bravo, car même en ayant vu le direct, c’est toujours un plaisir de te lire 😉 .

    Je n’avais pas posté pour l’avant-match vu l’état de déliquescence avancé de MIN sur cette fin de saison. On dirait que le départ de leur OC a vraiment été le facteur décisif dans cette débandade offensive et derrière, la D a progressivement craqué. Saisons inversées avec 5-0 pour les Vikes au début et là 5-0 pour GB après un 4-6.

    Je sors tout juste du match DET DAL et le moins qu’on puisse dire c’est qu’il y a la place pour que le Rodgers MVP « fume » leur D comme il faut. Par contre, faudra que la D se montre un minimum parce que les Lions ont pas mal secoué les Boys en 1MT. Si on les étouffe d’entrée devrait pas y avoir de problème. DET aime toujours autant se tirer dans le pied en fin de match et de saison.

    Pour revenir à GB-MIN, nos CBs font vraiment peur, si le F7 met pas un minimum de pression c’est le stress à chaque passe… M’enfin comme d’hab ces dernières années, tout repose sur Rodgers et l’O une fois de plus… Car la D accorde son record/career day à un joueur adverse à chaque fois c’est hallucinant (Diggs à l’aller, Thielen au retour).

    C’est quand même bien de voir des mecs revenir en forme au meilleur moment chez nous (Rodgers, Clay, Nelson…) ou se montrer (Allison). Je dirais que le meilleur symbole de ce match faste c’est Rodgers qui lance sur Janis pour un catch en sideline quasi en première intention… Si le 12 est « dans la zone » au point de faire confiance à Janis (ou d’être tellement sûr de ses lancers que même Janis peut pas les foirer :D) rien ne peut l’arrêter.

    Et Nelson, quel team player… Combien auraient tenté d’aller au TD pour un hail mary d’anthologie, un rab de stats, un lambeau leap et la gloire d’un match ? Lui non, il assure la victoire de l’équipe, chapeau bas. On notera quand même son spike en plein milieu du terrain après TD, célébration très inhabituelle pour lui qui montre bien à quel point il est libéré d’avoir retrouvé ses sensations ^^ .

    Allez 5 done, 1 to go pack go 🙂 !

  2. greenbaypackersfrance

    Merci pour ta première phrase Roundeux. Ca fait plaisir. j’aimerais être plus réactif pour poster mon article, mais ça me prend un peu de temps en effet… 🙂
    Et quand ça tombe sur un match que je regarde en différé, comme pour ce week-end de fêtes oblige… Et puis, ça tombe sous le sens, mais je regarde entièrement chaque match pour bien analyser sa globalité.

    Comme toi, ça fait plaisir de voir Rodgers lâcher les chevaux, ce qu’il ne faisait pas en début de saison. Cette passe pour Janis que tu as évoqué, mais je pense aussi à cette incroyable passe de 30 yards en hauteur pour Jared Cook. Il aurait jamais tenté ça en début de saison. Et puis Geronimoooo impliqué au même titre que Adams. D’ailleurs, on voit qu’Allison ne prend pas encore de risque après le catch. Il évite le contact et est très protecteur avec la balle.

    Allez on finit le travail contre les Lions!

  3. Davidbrillac

    Bon les gars, tous comme vous, je me réjouis du retour en forme de nôtre team préféré, constater depuis plusieurs matchs déjà, et évoqué entre nous sur TD actu par ailleurs.
    Retour en forme du en partie a notre cher métronome en mode MVP depuis la mi saison, qui pour moi pourait sufire à ravir un 4eme titre de MVP ( celui du Super Bowl 45 étant le plus important) aux deux boys de l’America Team qui ont pour moi le désavantage d’être rookie, et que la NFL ne récompense que très peu les running hack, qui n’ont pas la responsabilité sur leurs épaules, le seul concurrents étant Matty Ice !
    Pour revenir à notre match de Noël, contre nos chers barbares, devenue de simple pêcheurs, quel changement depuis le match aller, très courant en NFL malgré seulement 16 match à jouer, il est clair que comme dans tous les sports il faut être là au bon moment, et avant tous à l’approche des playoff.
    Le limogeage de Turner leurs à été fatale, ils faut que celui-là, depuis 25 ans que je le vois, je me dit qu’il a fait son temps, et que depuis son époque Cowboys, il court après son passé glorieux, bref !
    Rodgers étant redevenu lui meme, c’est-à-dire le meilleur, tous le monde ce met à rayonner autour de lui, a commencer par Nelson le meilleurs marqueur de TD de la NFL 2016, et qui l’était déjà en 2014, le meilleur WR blanc de sa génération ( de la trempe d’un Steve Largent, ou d’un Cris Collinsworth )
    Nos rookies off ou dff sont une valeurs ajouter, nos blessés reviennent un à un, sauf Shields malheureusement, qui ferait grand bien dans ce qui est notre talon d’Achille !
    Le match contre les Lions, ne sera pas une formalité, mais presque, tellement les dynamiques se sont inversés, sans oublier qu’ils sont nos meilleurs soufre douleurs depuis toujours.
    Si défaite, et élimination, il devait y avoir lundi matin, ce serait une énorme desception !
    Bon les gars, suite au prochain numéro, en rajoutant deux devise, qui scie bien aux Packers !
    The Pack is Back, et Go Pack Go !

  4. Davidbrillac

    Continu comme ça, t’on blog sur les Packers est tous simplement le meilleur !
    Moi qui suis les Packers depuis la saison 1987, j’ai longtemps eu recours à un simple résumer hebdomadaire sur canal+, car les Packers de l’époque n’était jamais télévisé, puis par la suite des abonnements à plusieurs magazines de sport US qui ont tous périclité, puis une parabole tourné vers un satellite Allemand, puis l’avènement d’Internet, et BeIn sport pour finir.
    Dans tous cela ton blogue, est le bien venu pour la Packers Nation Francophone !
    Longue continuation, tu a en tous cas trouver deux bon clients entre moi Roundeux…

  5. Davidbrillac

    Salut Roundeux, je me demande si Jordy suite à sa grave blessure de la saison passé, a reçu la consigne des médecins de ne pas tenter de Lambeau Leap ? Car lui qui en est un adepte, n’a pas plonger dans la foule et la bière de toute la saison !
    Merci à Aaron le seul à l’avoir fait samedi.

  6. greenbaypackersfrance

    Difficile d’imaginer en effet que les Packers manquent les play-offs, ce qui est encore possible, tant la dynamique actuelle de GB semble difficile à enrayer.
    Evidemment, il a fallu que cette rencontre, celle au + fort enjeu de cette dernière semaine, soit déplacée en prime time. (2h30 en France)
    Go Pack go !

  7. greenbaypackersfrance

    J’ai trouvé tellement bon signe pour les blessures musculaires de Rodgers qu’il fasse ce Lambeau Leap si intense, que ça faisait chaud au coeur et rassurait pleinement sur les capacités du n°12

  8. Roundeux

    Salut Davidbrillac 🙂 ,

    Ou alors Jordy se réserve pour faire des « SB leap », ce qui m’irait très bien aussi ^^ .
    Par contre, le docteur déconseille formellement le Ford Field Leap, il y aurait des lions dans les Fosses 😀 !

  9. Davidbrillac

    Bah ! Ils seront trop occupés à regarder les scude d’Aaron traverser le Ford Field !
    Quand à Nelson, le Super Bowl si il y brille comme dans le 45, on aura de quoi ce réjouir, et de quoi discuter !

Laisser un commentaire